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La classe ouvrière va au paradis (La classe operaia va in paradiso)

Un film de Elio Petri
SYNOPSIS

Lulù Massa, véritable stakhanoviste du travail, est ouvrier modèle dans une usine métallurgique : grâce à son extrême rapidité, son rendement est cité en exemple par son patron. Les autres travailleurs ne voient pas d’un bon oeil ces cadences infernales, et il est détesté de ses collègues dont il méprise les revendications sur les conditions de sécurité au travail.

Bercé par les rêves de la société de consommation entre son amie, son fils Arturo resté avec sa mère après le divorce de ses parents, sa voiture et sa télévision, Lulù réalise parfois la vanité de la vie qu’il s’impose.
Alors qu’il se coupe un doigt accidentellement les autres ouvriers, par solidarité, se mettent en grève. Cet événement provoque en lui une profonde remise en question. Lulù décide alors de s’investir dans l’action syndicale et engage toute son énergie dans ce nouveau combat. Il soutient alors la nécessité d’une grève illimitée…

Avec G. Maria Volontè, M. Melato, S. Randone, F. Bucci

Italie, 1971, 2h05, Couleur

BIOGRAPHIE

Réalisateur italien des années 60, Elio Petri signe les scénarii de ‘L’impiegnato’ de Gianni Puccini, ‘Les monstres’ de Dino Risi et de ses propres films tels que ‘La dixième victime’ et ‘Un coin tranquille à la campagne’. Il réalise de nombreux films dont ‘Haute fidélité’, ‘Todo modo’ et ‘Le buone notizie’. Elio Petri est un habitué du festival de Cannes : il reçoit en 1967 le prix du scénario ‘A chacun son du’, le Grand prix spécial du Jury et le prix de la Critique internationale en 1970 pour ‘Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon’, et le Grand prix International en 1972 pour ‘La Classe ouvrière va au paradis’.

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