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Un homme, un cheval et un pistolet

Un uomo, un cavallo, una pistola

Un film de Luigi Vanzi
SYNOPSIS

Quelque part dans l’Ouest, un gang de desperados, menés par un tueur qui ne rate jamais sa cible, prépare un nouveau gros coup : l’attaque d’une diligence un peu particulière. Les bandits n’en ont pas après son contenu, mais après la diligence elle-même, qu’on dit faite en or. Cependant, un étranger solitaire est également sur le coup, et il n’a pas l’intention de les laisser s’en tirer avec le trésor. Hélas pour lui, ses ennemis le capturent et le laissent pour mort. Mais l’étranger a de la ressource, et il compte bien se venger. Second volet de la trilogie de l’Etranger, réalisée par Luigi Vanzi et interprétée par Tony Anthony, quelque part entre Franco Nero et son Django, et Clint Eastwood et son Homme sans nom.

Avec Tony Anthony, Daniele Vargas, Ettore Manni

Italie, 1968, 1h35

À PROPOS

Suite au succès aux Etats-Unis d’Un dollar entre les dents (1967), les producteurs Massimo Gualdi et Roberto Infascelli décident seulement quelques mois plus tard de mettre en route une suite. L’acteur principal Tony Anthony s’implique davantage puisqu’il est à l’origine du canevas du scénario. De fait, le personnage de l’Etranger gagne en épaisseur dans cette suite. Anthony a ainsi créé une sorte d’hybride entre le cynisme de l’homme sans nom et la désinvolture de celui que l’on appellera Trinita trois ans plus tard. S’il demeure un as de la gâchette, le personnage parvient à viser dans les positions les plus improbables, alors qu’il est par ailleurs incapable de se rouler une cigarette. A la fois vénal et généreux, vif et indolent, taciturne et drôle, cet Etranger pétri de contradictions bénéficie d’un certain capital sympathie, bien qu’il demeure assez énigmatique.

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