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Storie di vita e malavita

Un film de Carlo Lizzani
SYNOPSIS

Des bidonvilles de la périphérie de Milan jusqu’aux beaux quartiers de la ville, six destins de jeunes adolescentes tombées dans l’enfer de la prostitution.

Avec Nicola De Buono, Franca Aldrovandi

Italie, 1975, 2h03

Musique : Ennio Morricone

Interdiction aux moins de 12 ans assortie de l’avertissement suivant : « De nombreuses scènes de violences envers les femmes peuvent choquer un public sensible. »
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À PROPOS

En 1968, le cinéaste réalisait Bandits à Milan en s’ins­pirant de l’esthétique du reportage, pour montrer les méthodes employées par la nouvelle génération de gangsters qui sévissait dans la capitale lombarde. Sept ans plus tard, Storie di vita e malavita adopte la forme du film-enquête et s’attaque à un autre phé­nomène des grandes métropoles occidentales, et de Milan en particulier : la prostitution. Le film s’inspire d’une série d’articles de la journaliste Marisa Rusco­ ni parue dans le magazine L’Espresso, consacrée au racket de la prostitution des mineures. Plutôt que de proposer une trame linéaire, Lizzani et son scéna­riste Mino Giarda (également assistant-réalisateur) optent pour une structure fragmentaire très élabo­rée, dans laquelle s’entrecroisent six histoires, avec différentes voix narratives, sans que Storie di vita e malavita puisse être défini comme un film à sketches. Ce principe permet d’aborder différents aspects de la prostitution des mineures à Milan, avec deux princi­paux axes : d’un côté des jeunes provinciales venues du Sud de l’Italie, proies faciles de proxénètes qui abusent de leur innocence ; de l’autre, des adoles­centes issues de la moyenne ou grande bourgeoisie qui se prostituent par désœuvrement et pour se révol­ter contre l’indifférence de leurs parents. Lizzani dé­peint un tableau accablant de l’exploitation sexuelle de jeunes filles, que ce soit par une autorité parentale, des petits voyous ou des membres de réseaux pédo­philes.

Vittoria
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